Naissance de la violence (2007)

30/12/2018

texte et mise en scène Jérôme Richer

assistante à la mise en scène et mouvement Virginie Lutz

jeu Delphine Horst et Antonio Troilo

lumières Joëlle Dangeard

vidéo Daniel Cousido


REPRESENTATIONS

  1. 25 au 27 janvier à  la Grange de Dorigny (Lausanne)
  2. 1er au 11 février 2007 au Théâtre de l'Usine (Genève)
  3. 4 au 5 avril 2007 au CCN-Théâtre du Pommier (Neuchâtel).

RÉSUMÉ

Un homme, seul, dans un espace clos, est visité par une apparition - celle de sa femme abattue quelques années auparavant lors d'un affrontement avec la police. Ensemble, ils revisitent les différentes étapes de leur engagement dans la lutte armée au cœur des années 1970.

Naissance de la violence (une histoire d'amour) est inspirée des vies de Renato Curcio et Margherita Cagol, membres fondateurs des Brigades rouges et des évènements en marge de la réunion du G8 à Evian en 2003.

Un spectacle qui mêle théâtre, vidéo et musique autour d'un questionnement sur la violence politique et la notion d'engagement.

PRESSE

« Écrite à partir d'un livre d'entretiens de Renato Curcio, membre fondateur des Brigades Rouges dans l'Italie des années 70, cette pièce de Jérôme Richer scrute avec finesse les brèches des idéologies militantes entre idéalisme et violence. » Anne-Sylvie Springer - L'Hebdo (25 janv. 07)

« A travers différents médias, la pièce de Jérôme Richer questionne les idéaux, l'engagement et la violence politiques. Entre la sobriété du décor et la justesse du ton, deux acteurs excellents, pris dans le drame universel d'un monde meilleur. Un morceau d'histoire qui dialogue avec le présent. A voir. » Coralia Gentile - Murmures info (25 janv. 07)

« Delphine Horst et Antonio Troilo interprètent à la fois les deux amants militants et toute une série de protagonistes qui gravitent autour du couple. L'apparition de la célèbre comédienne Franca Rame dans la prison de Curcio, ou la première « appropriation prolétarienne », un hold-up dans la foule, sont autant de moments de théâtre convaincants. » Frédéric Deshusses - Le Courrier (2 fév. 07)

« Ce théâtre-là réfléchit et doute à haute voix, de tout, de sa propre forme aussi. Il laboure la mémoire. Et ne désespère pas de l'avenir. Il y a de l'exigence dans cette approche. L'amour du monde, malgré tout, fût-ce en serrant la mâchoire. » Alexandre Demidoff - Le Temps (10 fév. 2007)

COPRODUCTION

Théâtre de l'Usine, Grange de Dorigny et CCN-Théâtre du Pommier.

SOUTIENS

Département de l'Instruction Publique de l’État de Genève, Département de la Culture de la Ville de Genève, Société Suisse des Auteurs, Pour-Cent Culturel Migros et Corodis.